Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !

“Non, notre centre-ville 

n'est pas vide !” 

 

Un communiqué “coup de gueule” 

qui (nous) fait réagir.

Mise au point.

Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin !

État des lieux, une fois pour toutes.

Si vous êtes Président-e d'une union commerçante dans votre ville ou votre bourg, a fortiori si vous êtes commerçant-e vous-même, vous n'êtes pas sans savoir que la situation est délicate. On le sait, on le dit, on le voit, le commerce de centre-ville en aura essuyé des déconvenues depuis le début du troisième millénaire... la prolifération des zones commerciales en périphérie urbaine, l'émergence du e-commerce galvanisé par les confinements successifs, l'inflation, la crise de l'énergie, la guerre… Bref ! les raison sont multiples et conjoncturelles. 

On peut dire que rien ne lui aura été épargné, et il faudrait être Robinson sur son île ou Loanna dans son loft pour prétendre que la vie autour du commerce est un long fleuve tranquille. 
On sait. 

 

Quitte à nettoyer, autant faire briller ?

Mais comment l'ignorer si, en plus d'une réalité quotidienne, tout est prétexte à ce qu'on vous le rabâche à grands coups d'accroches jetées noir sur blanc ou pixellisées sur vos écrans ? On n'abat pas un homme à terre pas plus que l'on ne condamne un centre-ville au néant, au désespoir. 

Or, que va t-il se passer si, à l'instar de notre adhérent Alexandre Melin, Président des Vitrines de Troyes la champagne, la presse dite locale ne fait que relayer des informations alarmistes sur les chiffres de la vacance commerciale, sur le nombre d'éponges jetées par des commerçants rincés, endettés, déprimés ou dépressifs ? 


 Lire le communiqué d'Alexandre Melin
 


Seul, on va plus vite… Ensemble, on va plus loin !

 
 

Des idées et des initiatives, il en existe pléthore

Baisser les bras et sombrer pieds et poings liés dans le pessimisme n'a jamais été une option aux Vitrines de France. 

Chaque jour, nous nous concertons, nous nous réunissons, nous interrogeons nos adhérents et partageons leurs bonnes idées, leurs propres solutions pour maintenir le cap. Car, en dépit des vents contraires et même si la houle est parfois nauséeuse, ils sont nombreux - et à Troyes notamment ! - à savoir nager, et parfois même les quatre nages ! 

Il suffit, pour vous en convaincre, d'aller surfer sur notre Tour de France des bonnes idées, pour vous rendre compte qu'un peu partout sur notre territoire, il y a des femmes et des hommes qui se lèvent le matin avec la ferme intention de faire bouger les lignes. 

Des animations, des décorations, des outils mis en place et développés pour inciter les habitants (et les touristes) à sortir de chez eux pour aller à la rencontre de leurs commerçants, de leurs boutiques, et ainsi, faire vivre ceux qui les tiennent.

 

Consultez la boite à outils de la Fédération Nationale des Centres-Villes

 

Un réel attachement aux centres-villes et au “consommer local”

Les confinements liés à la pandémie ont permis de souligner à quel point les habitants étaient attachés à leur centre ville, et qu'ils le souhaitaient diversifié en types de commerces, de services. 

 

“Sans piétons, sans visiteurs et donc sans clients, 

un commerce est voué à sa perte.”

 

Le consommer local passe par les circuits courts, et donc, pour commencer, par les commerces en bas de chez soi, cela va de soi. C'est donc à chacun de nous de participer à la sauvegarde de la vie d'un quartier. Sans piétons, sans visiteurs et donc sans clients, un commerce est voué à sa perte. C'est une lapalissade. Mais parfois, il est bon de (se) rappeler l'évidence. Et c'est ainsi que l'on peut faire bouger les lignes.

 

Rien ne se perd, tout se transforme

Certains secteurs traversent ce millénaire particulièrement secoués par les évènements précédemment énoncés. Rappelons que les raisons de cette crise sont structurelles pour certains, comme par exemple le prêt-à-porter (plus particulièrement le moyenne gamme) qui s'est heurté à l'exode du chaland vers les sites d'e-commerce que certains n'ont pas vu venir. 
Cependant d'autres connaissent une embellie, voire une résurgence certaine dans le coeur des citoyens. On pense au commerce du livre, au secteur du réemploi et de la seconde main. Les reprises et ouvertures de ces commerces témoignent de la bonne santé de ces marchés. De quoi rester optimiste, tout du moins, de voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. 

 

Ensemble, c'est tout.

Donc, comme un écho au cri du coeur du Président des Vitrines de Troyes, nous appelons à nous serrer les coudes, à ne pas céder aux sirènes du pessimisme, en un mot, faire du “RESTER POSITIF” un mantra ; puis continuer à réfléchir - ENSEMBLE - à trouver ce qui pourrait mieux nous souder encore…

 

 

 

 

 

 

 


 

 

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